Ce n’est ni pas le moment ni l’endroit de discuter réchauffement climatique, Greta, les ours polaires et les jonquilles qui montrent le bout de leur nez depuis un bon mois.
Parfaitement ! Les jonquilles montrent le bout de leur nez.
En troisième lieu le retour des animaux migrateurs.
Ça veut dire : Par exemple si vous avez un copain canard de la race des colverts qui est parti dans le sud, parce qu’il se pelait les miches. Parfaitement ! Le canard peut se peler les miches. Attendez-vous à le voir rappliquer d’ici peu. En même temps c’est un peu le concept du migrateur. C’est comme une chanson populaire, ça s’en va et ça revient au moment très précis où la pendule de l’entrée s’est arrêtée sur midi. Le mien de canard est resté. Il n’est pas migrateur. C’est un sédentaire. Il est en bois et boulonné dans le sol de mon balcon. C’est un canard vissé.
Ce jeu de mot vient de loin, je vous l’accorde, mais je l’adore.
Quand je pense que Vivaldi avait écrit les quatre saisons en pensant au printemps. à son époque, les quatre saisons étaient marquées. Maintenant une quatre-saisons, c’est une pizza, météorologiquement parlant, les quatre saisons. C’est un souvenir.
Un chanteur des années soixante-dix chantait : « Viens à la maison ! Il y a le printemps qui chante ».
J’espère que cette année, il ne chantera pas faux.