La Chronique de Zef
En ce cinquième mois de la deux mille vingt et unième année qui a suivi la naissance de Jésus Christ notre seigneur, nous avons attendu impatiemment le dix-neuvième jour.
Parce qu’on va pouvoir aller au restau, en terrasse. Ça rouvre.
Beni soit son nom. Alléluia, alléluia. Que sont ces bondieuseries, me direz-vous ?
C’est simple dans l’état de manque où je me trouve, je veux bien me taper la messe tous les dimanches si, en échange, je me fais un restau et je ferai tout en bon chrétien : Des fines tranches de jésus avec du beurre de Missel, un filet de saint Pierre sauce vierge, un saint Julien pour accompagner et en dessert des pets de nonne.