KINOBEER, la bière qui fait son cinéma

Tout ça part de l’envie, et pour la technique on passe par un apprentissage sur le tas. On fait face aux galères, aux obstacles, aux moqueries, aux ratés. Puis on finit par atteindre quelque chose. Ce quelque chose, c’est une première recette aboutie, qui peut prétendre à être brassée ailleurs, en vue d’être distribué plus largement que par le bar du coin. Et on commence par être référencé chez Monop’, avant que d’autres suivent…Ce que tu viens de toucher quand t’en arrives à ça, c’est une identité gustative. Et elle est là. T’attaches ton bandeau autour des yeux, et tu sauras que tu dégustes une KINOBEER.

« Kino », comme Kino Kabaret

Tout ça, ça pourrait être l’histoire de n’importe quelle micro-brasserie. L’amour du produit, la détermination, la créativité, l’envie. Sauf que KINOBEER a une autre histoire à raconter. Ça se limite pas à l’identité du goût. Siffler une canette, c’est participer financièrement à la production cinématographique. Dans KINOBEER, y a « Kino », comme Kino Kabaret, ce mouvement de cinéma indépendant mondial qui vise à se faire rencontrer acteurs, réalisateurs, monteurs, et tous les autres corps de métiers du cinéma, amateurs ou professionnels, le temps d’un week-end ou d’une semaine, et d’attendre qu’ils s’organisent entre eux pour pondre des films en impro.
Les pubs de KINOBEER, dispos sur Youtube, sont du cinéma, suffit d’aller jeter un œil. On est ici dans une démarche qui dépasse le décapsulage. Une partie des bénéfices est reversée dans le cinéma, on fournit des caisses de KINOBEER aux différents Kino Kabarets pour qu’ils se fassent de la trésorerie, on aide à la production, à soutenir les jeunes artistes. Alors qui boira verra.

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