Claude Pasbecq

un passionné qui a côtoyé les étoiles.

Tout avait commencé en 1977 à la Salle des Fêtes de Fives. En 2016, il revient, ce n’est pas un adieu, c’est le retour aux sources.

Si vous prenez un café avec Claude, ça risque d’être long ! Asseyez vous confortablement et écoutez le se raconter. Inépuisable en souvenirs et anecdotes, il a côtoyé presque tous les grands du spectacle, il a fait tant de choses que sa vie en devient un roman . Il est infatigable, il se moque de son âge, il a la vitalité d’un jeune homme de trente ans. Il nous réserve encore bien des surprises.

Que de chemin parcouru depuis la rue d’Aguesseau  où petit garçon, il rêvait devant le poste de télévision de sa marraine , qu’un jour, il rencontrerait Jean Nohain, Léon Zitrone et Guy Lux…

Nos lecteurs les plus âgés savent de quoi je parle.

C’était plus que les Drucker, Arthur ou Morandini …C’était des stars, des monstres sacrés, au temps où il n’y avait qu’une chaîne de télévision,  en noir et blanc !
En attendant de parler aux étoiles, le jeune Claude tournait tellement autour de Paul Milleville, Président de l’Union commerciale de Fives à l’époque, qu’il finit par animer les fêtes de Fives, les thés dansants de la célèbre auberge de Maître Pierre, le car-podium Berger et les différentes animations commerciales de Parunis.

Accessoirement,

il travaillait aux ateliers de la SNCF d’Hellemmes. Dans les années 70, dans la douceur des nuits de Saint Raphaël, les scintillantes soirées de la côte d’azur sont pour lui une révélation. Miss Côte d’Azur, «mais c’est bien sûr, comme disait Bourrel» tant qu’on y est, puisons dans les archives de la télévision, sa vocation c’était ça, les filles du Nord sont tout aussi belles que les provençales, créons les miss, chez nous.

1973, première élection de Miss Côte d’Opale : à Berck plage, Gravelines, Calais, Merlimont, Blendecques et depuis de nombreuses années au Touquet Paris Plage. 43 années au service du charme et de la beauté, en compagnie des plus grands Jean Nohain bien sûr, Léon Zitrone, Guy Lux, Thierry le Luron, Luis Mariano, Alain Barrière et Madame Geneviève de Fontenay, la Miss des Miss. Chaque fois qu’il venait à Lille, il voulait terminer la soirée à La Flamiche sur la place de Wazemmes. Lille, pour lui, c’était ça, un bon restaurant dans un quartier populaire.On pourrait écrire un livre sur Claude Pasbecq, peut être même plusieurs.

“Sais-tu que j’ai failli l’envoyer à l’hôpital ? Le pauvre homme, je gesticulais tellement avec le fil du micro qu’il s’est pris les pieds dedans et qu’il est tombé. Il m’appelait Pasbecq le désorganisateur de spectacle.

Jean Nohain

Une autre passion de claude Le théâtre
Théâtre en ville propose son cour d’initiation au théâtre chaque vendredi à 19Hoo en mairie de quartier de Lille Centre : 31 rue des Fossés
Venez vous aussi vous essayer au théâtre un soir, dans une ambiance conviviale et sympathique.

Et pourquoi pas vous ?

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