Dans le second, un mélange à lui pour le samedi soir et dans le troisième, celui du dimanche, du Clan, qui parfumait toute la maison de grande Tantante. Je trouvais ces pots magnifiques. Il me disait, le jour où on m’emmènera au cimetière, tu repasseras à la maison pour prendre les pots. Je ne sais pas ce que sont devenus ces fameux pots. Absent, je n’ai même pas pu être présent à son enter-
rement.