Et si on parlait de la chaleur de cet été. Souvenez-vous du 14 août !
Je me rappelle, j’étais à Armentières. !
39 degrés sur la grand place, j’ai été cherché une frite. Ma première erreur. Pourquoi des frites et pas une salade. La chaleur avait dissous mon discernement, je ne vois que ça. Et puis, on peut manger des frites en période de canicule.
D’abord elles refroidissent moins vite. Et le gras ça empêche l’eau de s’échapper de votre corps. Donc vous pouvez reprendre une bière.
En tout cas, je peux vous dire que j’avais pu un poil eud ’sec. J’ai tellement bu de boisson fraîche que, quand on me secoue, on entend le bruit des glaçons. Pour vous dire au bout d’une heure de queue (oui je ne suis pas le seul à avoir envie de frites en période de chaleur) je transpirais des fesses. Et ça, c’est un signe de grosse chaleur. Autant le front, c’est vingt-cinq degrés mais le cul. C’est canicule.
En période de chaleur, il y a plusieurs types de réactions. Ceux qui disent : « J’étouffe, j’ai pu d’air. C’est trop d’un coup »
Ceux qui croient que c’est le diable qui nous punit et qui se flagelle le soir chez eux dans une combinaison en latex pour se repentir en prenant un petit peu de plaisir, quand même. Ce n’est pas parce qu’on se repentit qu’on doit se faire chier.