Que serait le Rock sans Chuck Berry ?

Bien sûr les paroles, c’est un peu léger comme me dit ma  nièce qui parle couramment anglais, nous on s’en foutait, on ne comprenait pas l’anglais, mais le rythme, lui,  nous secouait les neurones..

Sweet little sixteen, on n’était pas malin, mais on savait ce que c’était.

Bien sûr, Il y avait les autres: Buddy, Elvis, Jerry ou Cochran mais pour moi, il n’y en avait qu’un.

Alors, Chuck, si là haut tu rencontres le gros Fat, prends ta guitare et balance lui une de tes belles et longues intro saccadées qui met en transe.

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